Mise en pratique 1 Rapport
méthodologique : les logiciels de partage et d’annotations sur le web,
première utilisation de Delicious.
Bonjour à tous, je viens d’explorer rapidement les
différents logiciels proposés pour le partage de documents et les annotations
sur le web. Suite à cette exploration, j’ai décidé de me concentrer sur le
logiciel qui a attiré mon attention qui est Delicious.
Tout d’abord, pour commencer à utiliser ce logiciel, il faut
se créer un compte de la même manière par exemple que Zotero mais aussi que
tous les autres logiciels proposés. On peut créer un compte avec Twitter,
Facebook, Google ou encore par son adresse mail. Possibilité aussi d’installer
cette application sur un Smartphone.
Mise en avant du principe et des objectifs de ce
logiciel. Qu’est ce exactement Delicious ?
C’est d’abord un site collaboratif de partage de signets.
Delicious est donc principalement un service gratuit dans le
but de sauvegarder puis de partager des liens (grâce à son URL), des
marque-pages internet qui nous intéressent sur le web et que l’on veut
facilement retrouver. Ce site existe depuis 2003 mais est véritablement relancé
à partir de 2011 suite a un rachat.
Il offre également la possibilité de constituer une collection de liens et à créer
son propre moteur
de recherche personnel. L’organisation des liens
permet de les trouver rapidement lors d’une recherche.
Comment le site se présente-t-il ??
Voici une capture d’écran de la page principal du logiciel
Delicious :
Principales fonctionnalités :
Sur cette page principale, on peut visualiser les liens que
l’ont a ajouté grâce à la touche « Add Link » à gauche. On peut voir
la date et l’heure de l’ajout du lien ainsi que le nombre de personne ayant
ajouté le lien.
On peut commenter les liens, les tagger mais également bien
sur les partager (sur Twitter, Facebook,
Google ou encore par Email).
Dans les réglages « settings », on modifie son
profile pour éventuellement être suivi par d’autres utilisateurs mais également
les suivre. Lorsque l’on est suivi par un utilisateur, il voit nos liens
publics mais n’a pas accès à nos liens privés ce qui est pareil lorsque l’on
suit un utilisateur.
L’outil de recherche « search » en haut à gauche
est utile pour rechercher des liens que l’ont a ajouté et que l’on veut
retrouver mais également pour trouver des liens intéressant à ajouter (par
catégorie, mots clés).
L’onglet « Network » à gauche grâce auquel il est
possible de rechercher des utilisateurs intéressants à suivre ou alors
directement des connaissances, des amis.
Finalement, l’onglet « Discover », permet de visualiser une
liste de liens qui sont ajoutés récemment par des utilisateurs voir des liens
qui sont le plus ajoutés.
On peut donc dire que ce logiciel est très utile dans une
recherche dans la mesure où l’on peut ajouter des liens à sa base de données, y
joindre des tags mais également un commentaire pour les classer dans des
catégories et les retrouver plus facilement par la suite. On peut partager ses
liens avec d’autres utilisateurs (amis…) mais également suivre les liens
d’autres utilisateurs. Possibilité également de rechercher des liens
intéressants à l’aide de mots clés précis.
Cependant je trouve que ce site reste assez limité de part
ses fonctionnalités car il ne permet pas contrairement à Zotero d’ajouter des
références bibliographiques et de créer des dossiers dans lesquels y glisser
ses liens. Il n’est également pas possible d’ajouter directement le lien
lorsque l’on est sur le site web grâce à un icône comme on peut le faire avec
Zotero. Il est aussi impossible de modifier le lien en lui-même directement, on
l’ajoute et on le sauvegarde tel quel.
Les sept livres choisis
pour la recherche :
5) My Lady Barefoot d’Evelyn Raymond:
Avant cette recherche, je ne pensais pas que tant de sites proposaient des versions numériques de livres intégrales connaissant plutôt Google books qui fournie rarement l'intégralité des livres.
J'ai aussi été étonné que toutes ces reproductions numériques soit en accès gratuit et non payant.
Bien sur les livres recherchés sont assez anciens donc plus facilement en accès gratuit que d'autres livres plus récents même si il pouvait y avoir le risque de ne pas les trouver car trop anciens et pas assez connus.
Ce qui est peut être le cas pour les deux livres que je n'ai pas réussis à trouver du tout en version numérique (My Lady Barefoot et The Three Deserters).
1) Dans ces lectures, on se rend très vite compte que le
premier sujet principal est la question de la numérisation.
Mise en pratique 2. La machine à remonter le temps, recherche numérique de livres
1) Afterwards and other stories de Ian Maclaren: -->https://archive.org/details/afterwardsandoth00macliala ;
--> http://www.gutenberg.org/files/43192/43192-h/43192-h.htm.
--> http://www.gutenberg.org/files/43192/43192-h/43192-h.htm.
2) A Double Thread de Ellen Thorneycroft
Fowler: https://archive.org/details/adoublethread00fowlgoog.
3) The eye of a God and other Tales East and
West de William Alexander Fraser: -->https://archive.org/details/eyeagodandother00frasgoog.
4) Barriers Burned Away de Edward Payson Roe: -->https://archive.org/details/barriersburned00roeeiala ;
-->https://archive.org/details/barriersburnedaw00roeerich ;
--> http://www.gutenberg.org/cache/epub/6627/pg6627.html ;
--> http://www.gutenberg.org/cache/epub/6627/pg6627.html ;
5) My Lady Barefoot d’Evelyn Raymond:
(de nombreux livres de cet auteur sont en ligne mais pas cet
ouvrage.) -->Pas de version numérique trouvée.
6) The Three Deserters de Michael T. H.
Perelaer: -->Pas de version numérique trouvée.
A part pour quelques exceptions près, le site archives.org
est très utile pour rechercher la version numérique de certains livres. En
effet, lorsque que l’ouvrage est disponible, le site met à disposition des liens
vers une lecture en ligne ou encore une lecture PDF (également de nombreuses
autres modes de lectures disponibles) pour pouvoir les consulter de manière
numérique. Je suis donc parvenu à trouver avec ce site la version numérique de
la plupart des livres sauf 2 (My Lady
Barefoot et The Three Deserters).
Certains livres ayant même plusieurs versions numérisées jusqu’à parfois environ
6-7 versions différentes (Barriers Burned
Away).
Lorsque l’on recherche ces livres par Google books, on
trouve la couverture ainsi que la description du livre, ses références mais
l’accès à la version numérique n’est pas disponible donc pas possible d’y
accéder. J’ai été confronté à ce cas de figure pour tous les livres que j’avais
choisi, c'est-à-dire pas de version numérique disponible par Google books.
Pour le cas du site du Projet Gutenberg, on peut dire que
c’est un peu le même principe qu'archives.org. En effet on rentre le titre du
livre et si ce dernier est disponible, on a accès à la version numérique sous
différentes formes de lecture.
Pour ma part, ma recherche sur ce site a été beaucoup moins
fructueuse car je ne suis parvenu à trouver que seulement deux livres sur les sept.
Alors que qu’avec archives.org, j’étais parvenu à avoir accès à cinq d’entres eux.
En revanche, deux des sept livres que j’ai choisis ne sont
ni trouvable sur le site du projet Gutenberg ni sur le site d'archives.org
version numérique.
Je les ai trouvés sur le net (notamment ses références) et sur
des sites d’achats mais pas de versions numériques consultables gratuitement.
Je savais déjà que l'on pouvait utiliser Google books pour trouver certaines numérisations de livres. Cependant, souvent sur ce site soit on n'a pas accès à une version numérique complète du livre (que des extraits, certaines pages) soit pas de version numérique du tout pour un livre.
Pour ce qui est d'archives.org, je connaissais ce site mais je ne l'avais jamais utilisé pour accéder à des livres numérisés. Je l'ai trouvé très simple d’utilisation avec beaucoup de livres disponibles.
Par contre, j'ai découvert le projet Gutenberg qui est un site assez proche d'archives.org avec quelques petites différences. J'ai eu plus de mal à trouver mes livres sur ce site, c'est pourquoi archives.org m'a plus plu même si il reste quand même très utile.
D'autres sites permettent d'avoir accès gratuitement à des livres numérisés comme Gallica.bnf.fr, ebooksgratuits.org, booksshouldbefree.com mais on trouve également des sites où l'on doit payer la version numérique comme numilog.com, le site de la Fnac ou encore d'autres...
Je savais déjà que l'on pouvait utiliser Google books pour trouver certaines numérisations de livres. Cependant, souvent sur ce site soit on n'a pas accès à une version numérique complète du livre (que des extraits, certaines pages) soit pas de version numérique du tout pour un livre.
Pour ce qui est d'archives.org, je connaissais ce site mais je ne l'avais jamais utilisé pour accéder à des livres numérisés. Je l'ai trouvé très simple d’utilisation avec beaucoup de livres disponibles.
Par contre, j'ai découvert le projet Gutenberg qui est un site assez proche d'archives.org avec quelques petites différences. J'ai eu plus de mal à trouver mes livres sur ce site, c'est pourquoi archives.org m'a plus plu même si il reste quand même très utile.
D'autres sites permettent d'avoir accès gratuitement à des livres numérisés comme Gallica.bnf.fr, ebooksgratuits.org, booksshouldbefree.com mais on trouve également des sites où l'on doit payer la version numérique comme numilog.com, le site de la Fnac ou encore d'autres...
Avant cette recherche, je ne pensais pas que tant de sites proposaient des versions numériques de livres intégrales connaissant plutôt Google books qui fournie rarement l'intégralité des livres.
J'ai aussi été étonné que toutes ces reproductions numériques soit en accès gratuit et non payant.
Bien sur les livres recherchés sont assez anciens donc plus facilement en accès gratuit que d'autres livres plus récents même si il pouvait y avoir le risque de ne pas les trouver car trop anciens et pas assez connus.
Ce qui est peut être le cas pour les deux livres que je n'ai pas réussis à trouver du tout en version numérique (My Lady Barefoot et The Three Deserters).
Semaine 4 : Les archives de l'infini et la numérisation de masse-Pistes sur les lectures
(Cohen
& Rosenzweig, Digital History, Chapter 3 (Becoming Digital))
Numérisation ?
- Les avantages et les inconvénients de la numérisation
- Les différentes raisons et les façons dont le texte peut être numérisé
- Les avantages et les coûts de marquage de texte
- Les façons de numériser des images
- Les manières de numériser le son et les images en mouvement
- Les différentes raisons et les façons dont le texte peut être numérisé
- Les avantages et les coûts de marquage de texte
- Les façons de numériser des images
- Les manières de numériser le son et les images en mouvement
- Les personnes qui réalisent la
numérisation, les acteurs
Le passé était analogique. L'avenir est numérique. Une quantité étonnante de
l'enregistrement historique analogique est déjà devenue numérique dans la
dernière décennie.
Les nouvelles générations d’historiens
sont de plus en plus formées aux techniques du numérique.
Historiens, bibliothécaires,
archivistes vont entrer dans le jeu de numérisation de peur de se laisser
distancer et d’être mis de côté.
Alors que les données analogiques
utilisent un flux variable et continue, des données numériques sont un
échantillon des données d'origine encodées de manière binaire (1 et 0) sur un
ordinateur.
(comparaison entre la montre-bracelet
et l’horloge numérique).
La numérisation et notamment le
stockage ont un coût important.
Le lieu en puissance qu’est
l'ordinateur permet de baisser le coût du stockage numérique mais également
d’augmenter significativement la vitesse des réseaux informatiques.
À première vue, le débat entre
analogique et numérique semble s'appliquer aux sons et images et non à un
texte, qui a la même qualité d’impression que des données numériques.
Cependant des problèmes comparables
dans la numérisation de texte existent. Question de la densité des données.
Il peut être impossible (ou tout au
moins très difficile) de passer de l'analogique au numérique sans perte
d'information.
La numérisation peut être imparfaite, difficile et coûteuse.
Le numérique met en valeur et développe
l’avantage de l’accès à de nombreuses sources historiques pouvant être
difficiles à trouver.
Le numérique permet aussi aujourd’hui à plus
en plus de personnes d’effectuer des recherches
car les ressources sont facilement accessibles.
2) Ensuite on s’intéresse à la façon de préserver le
passé avec l’évolution des sources et l’aide du numérique (entre rareté et
abondance).
(Rosenzweig,"Scarcity or Abundance? Preserving the Past in a Digital Era," American Historical
Review 108, no. 3 (Jun 2003): 735-762).
Ainsi les historiens doivent penser
simultanément à comment faire des recherches, à écrire et à enseigner dans un
monde de l'abondance historique.
Mais les historiens ont du mal à
prendre en compte ces problèmes « techniques » qui sont pour eux hors
champs des sciences sociales.
Les questions les plus importantes au
sujet de la conservation numérique sont juridiques, sociales, culturelles,
économiques, politiques.
Les historiens peuvent aussi être confrontés à un changement
de paradigme fondamental d'une
culture de la rareté à une culture de l'abondance.
Mais est ce que cette abondance apporte une
meilleure ou une histoire plus réfléchie ?
Changements de méthode des historiens pour
s’adapter à l’abondance des sources historiques.
Des débats entre bibliothécaires,
archivistes et historiens sur les sources et leur conservation.
3) Une nouvelle manière de faire de l’histoire :
l’histoire en ligne.
(Cohen
& Rosenzweig, Digital History, Chapter 6
(Collecting History Online))
Faire de l’histoire en ligne induit des thèmes principaux :
- Utilisation de l'Internet pour recueillir des informations, des faits ou des évènements du passé (Pourquoi
faire de l’histoire en ligne ?).
- Mise en place de projets se prêtant à cette nouvelle méthode de construction d'une archive numérique (aussi grâce à de nombreux outils).
- Volonté de développer l'interactivité dans les sites internet afin que les visiteurs puissent apporter leur participation (leurs souvenirs et autres documents historiques). La question aussi des acteurs de cette histoire en ligne.
- On encourage les gens à participer et à faire de l'histoire dans ce nouveau média.
- Évaluer et améliorer la validité et la valeur de ces sujets (en réalisant des études qualitatives).
- Egalement recueillir plus facilement des images et des récits personnels avec le web. Cela peut être un outil précieux et peu coûteux pour atteindre les personnes dans le monde qui pourraient avoir des souvenirs ou des matériaux utiles pour un sujet historique.
- Mise en place de projets se prêtant à cette nouvelle méthode de construction d'une archive numérique (aussi grâce à de nombreux outils).
- Volonté de développer l'interactivité dans les sites internet afin que les visiteurs puissent apporter leur participation (leurs souvenirs et autres documents historiques). La question aussi des acteurs de cette histoire en ligne.
- On encourage les gens à participer et à faire de l'histoire dans ce nouveau média.
- Évaluer et améliorer la validité et la valeur de ces sujets (en réalisant des études qualitatives).
- Egalement recueillir plus facilement des images et des récits personnels avec le web. Cela peut être un outil précieux et peu coûteux pour atteindre les personnes dans le monde qui pourraient avoir des souvenirs ou des matériaux utiles pour un sujet historique.
Nécessité de collecter et conserver les sources avant
qu’elles ne disparaissent.
4) Les technologies numériques ont des impacts sur les
historiens et leur écriture de l’histoire
(Anderson, "Past Indiscretions: Digital Archives and Recombinant
History," to
appear in Interactive Frictions, ed. Marsha Kinder & Tara
McPherson (2009)).
Les logiques narratives de la base de données et du moteur
de recherche ont donné lieu à
deux mouvements divergents :
deux mouvements divergents :
-
d’un côté une histoire « totale » autour de
l’Encyclopédie et portée par des concepts d’épistémologie historique.
-
d’un autre côté la volonté d’exploiter le potentiel de
la technologie numérique pour essayer de prendre en compte les visions du
passé.
Les technologies de l'information numérique ont
indéniablement changé la façon dont les données historiques sont saisies, traitées
et diffusées.
Les bases de données et les moteurs de recherche sont les
principaux mécanismes d'organisation et de diffusion de l'information dans les
réseaux numériques.
Les technologies numériques ont permis une recombinaison
dans la construction historique.
Histoire numérique
Comme l'émergence
de l'appareil photographique qui modifie au 19 ème
siècle les perceptions du monde, les outils numériques de plus en plus puissants pour stocker
et récupérer des informations historiques influent maintenant la
façon dont le passé est conçu
et reconstruit.
La portée mondiale et
la capacité pratiquement illimitée de l'Internet a inspiré les universités, les bibliothèques et les
archives pour se positionner en
tant que distributeurs plutôt que simplement conservateurs de l'information. En conséquence, les ressources
institutionnelles sont de plus en
plus dirigé vers la numérisation et à l'organisation de l'information historique dans les bases de données qui sont accessibles via les réseaux informatiques publics et propriétaires.
Avec l'incorporation de
visuels (film, vidéo, télévisées) historiques dans les programmes universitaires, les
historiens ont commencé à reconnaître la
puissance de la représentation cinématographique. La
reconstruction historique dans les films.
En termes pratiques, les implications de la technologie
numérique pour l'archivage ont surtout porté sur les questions techniques et la
meilleure façon de conserver ainsi que de diffuser des informations historiques
en utilisant les réseaux en pleine expansion. Des débats importants ont émergé
autour des questions de propriété intellectuelle et le contrôle des images
d’archives (films, enregistrements vidéo et sonores). Surveillance par des
sociétés (Fondation Long Now : conservation de la culture numérique,
Fondation Electronic Frontiers : promeut la liberté d'expression dans le
domaine numérique).
Archives totales, histoire et mémoire
Les histoires numériques changent la perception du rôle de
l’historien. L'historien de
l'ère moderne est souvent caractérisé comme un détective ou un esprit
professionnel formé pour rechercher et juger de l'authenticité des preuves
historiques, des objets et des témoignages.
Mais il
doit quand même maintenant composer avec la construction de bases de données, l'accumulation d'énormes volumes d'événements
historiques, des faits et des images.
La
question de l’histoire dans les films. Enregistrements vidéo avec des témoins
accessibles (histoire orale, documentaire). Interrogation
sur le rôle de la mémoire.
La responsabilité de prévenir
l'effacement, l'oubli ou le déni de l'histoire.
C'est dans l'interaction active
entre mémoire et oubli (ce qu’Andreas Huyssen a appelé «oubli créatrice») que le sens
historique est construit.
5) Différentes études et exemples liés à la numérisation
et à la conservation.
- (Lyman
& Varian, "How Much Information? 2009 Report on American Consumers, UCSD: Global Information Industry
Center, pp. 8-14).
Une analyse quantitative, précise et poussée
de la consommation d’énergie numérique aux Etats-Unis en 2008 avec un principe
d’estimation et d’extrapolation.
Quelle quantité d'informations a été consommée par des personnes aux États-Unis en 2008? Les statistiques
comprennent des informations consommées à la
maison comme à l'extérieur de la maison
avec des motifs d'aller au cinéma, écouter la radio dans
la voiture, ou de parler sur un téléphone portable. Il ne comprend pas
d'informations consommées
par des personnes en milieu
de travail.
Quelques conclusions pour les Etats-Unis sur
l’utilisation de l’information numérique ces 30 dernières années (depuis
l’apparition du premier ordinateur en 1981) :
- Les Américains passent une énorme quantité
de temps à la maison à recevoir des informations numériques (moyenne de 11,8 heures par jour).
- Les octets d'informations consommées par les américains ont augmenté de 5,4 % chaque année depuis 1980 (beaucoup moins que la croissance du taux de la technologie informatique).
- Environ 3,6 zettabytes (ou 3600 exaoctets) d’informations consommées dans les maisons américaines en 2008. Les Américains passent 41 % de leur temps (consacré à l'information numérique) à regarder la télévision. Mais cela représente moins de 35 % des octets d’information.
- Les octets d'informations consommées par les américains ont augmenté de 5,4 % chaque année depuis 1980 (beaucoup moins que la croissance du taux de la technologie informatique).
- Environ 3,6 zettabytes (ou 3600 exaoctets) d’informations consommées dans les maisons américaines en 2008. Les Américains passent 41 % de leur temps (consacré à l'information numérique) à regarder la télévision. Mais cela représente moins de 35 % des octets d’information.
- Les jeux informatiques et
vidéo représentent 55
% de tous
les octets d'information consommés à la
maison, parce que les consoles de jeux modernes et PC de créer d'énormes flux de graphiques.
Ils écoutent aussi la radio.
Cette étude montre bien l’importance et
l’ampleur de la consommation de technologies numérique en général à travers
cette étude aux Etats-Unis.
- (Wilkinson,
"Remember This? A Project to Record Everything We Do in
Life," The
New Yorker (28 May 2007)).
Gordon Bell veut numériser et conserver ses archives avec
l’aide de collaborateurs.
Les archives de Bell contiennent cent vingt-deux
mille e-mails, 58 000 photographies, des milliers d'enregistrements d'appels
téléphoniques qu'il a faites, chaque page Web qu’il a visité. Il a aussi
conservé depuis 2003 toute l'activité de son bureau (par exemple les fenêtres
qu’il a ouvert), huit cents pages de dossiers de santé (y compris des informations sur la vie de la
batterie dans son stimulateur cardiaque), les livres qu'il a écrits ou ceux de
sa bibliothèque, les étiquettes de
bouteilles de vin dont il a joui ou encore l'enregistrement d'un voyage à vélo
à travers la Bourgogne.
Bell est un ancien ingénieur puis
chercheur pour Microsoft à San Franscisco.
Les archives de Bell comportent deux
sections : une partie historique et une partie contemporaine.
Bell se rend compte qu’il faut ajouter
des matériaux contemporains à ses archives (images SenseCam).
Question du partage de ses archives
personnelles.
Dans l'article que Bell a écrit en 2001
pour annoncer qu'il avait terminé la première partie de ses archives, il est dit
que l'obsolescence des logiciels et de la technologie était une menace pour une
archive de l'ordinateur
- (Daniel H. Pink, "Folksonomy,"
New York Times (December 11, 2005)).
En 1876, Melvil Dewey a élaboré une
méthode élégante pour classer les livres du monde. Le système décimal Dewey
divise les livres en 10 grandes disciplines, en plusieurs centaines de
sous-zones et attribue ainsi à chaque volume un nombre précis.
Mais sur Internet, une nouvelle
approche de la catégorisation est en train d'émerger. Thomas Vander Wal, un
architecte de l'information et développeur Internet, a surnommé folksonomie le
principe de taxonomie.
Une folksonomie commence avec un marquage qui permet de catégoriser.
Une folksonomie commence avec un marquage qui permet de catégoriser.
La force cumulée de toutes les balises
individuelles permet de produire un système auto-organisé pour la
classification des matériels numériques.
C’est un principe où tout le monde peut participer sans être
spécialiste.
Cette folksonomie peut s’appliquer à différents domaines
comme les catalogues de musées ou le classement des livres dans les sites
(exemple Amazon).
Site: “Hypertext History: Our Online American History Textbook”.
Site choisi : bubbl.us
Mission 3 : Compte-rendu critique d’un site historique
Le site choisi est un site à la fois riche, très complet
mais également assez complexe sur l’histoire des Etats-Unis.
C’est donc un site qui a pour objectif de décrire et de
retracer une histoire des Etats-Unis en ligne de manière numérique et grâce au
principe d’Hypertext.
En clair le principe est d’utiliser les nouvelles
technologies (numériques) pour améliorer l’enseignement et la recherche sur
l’histoire des Etats-Unis.
Aspects généraux du site
et modes de navigation :
Lorsque l’on est sur la page d’accueil du site, on peut
naviguer dessus et rechercher des informations à l’aide de plusieurs
entrées :
- En effet, on peut trouver ce que l’on recherche d’abord
par les catégories présentes en bas du site :
- Il y la
catégorie « Era » qui permet de trouver toutes les informations
disponibles en rapport à la période historique choisi et sélectionnée. On
trouve toutes les périodes caractéristiques de l’histoire des Etats-Unis.
- On trouve aussi
la catégorie « Topics » qui permet là de trouver des informations en
rapport à un ou plusieurs thèmes qui nous intéressent.
- La catégorie
« Resources » elle nous donne accès aux informations selon le type de
source (les sources primaires et écrites, les témoignages/voix de différentes
personnes ou encore les sources multimédia comme des vidéos ou des documents
audio).
- Enfin, il y
aussi une catégorie « References » pour trouver des références plus
précises.
- On peut également trouver les informations désirées à
l’aide de la frise chronologique présente en haut du site :
Cette frise est appelée « Timeline » et nous
permet de visualiser toutes les périodes de l’histoire des Etats-Unis.
Sur la frise, de manière horizontale, il y a les dates et
les événements sont placés chronologiquement en fonction dessus. Sur le côté
horizontal de la frise, on trouve certaines catégories (Media, Documents,
Textbook, Teaching).
L’intersection de la période et de la catégorie aboutie à
une case interactive où l’on peut cliquer et avoir accès à toutes les
informations.
Il est aussi possible avec un curseur horizontal de
parcourir la frise et de pouvoir naviguer vers toutes les périodes.
Naviguer sur le site par
rapport aux périodes historiques :
On se rend compte ensuite que lorsque l’on sélectionne une
période précise, on peut consulter de nombreuses informations sur cette
dernière.
En effet, pour chaque période, on a au choix accès à divers
documents écrits plus ou moins précis. On peut trouver la description de
certains événements caractéristiques qui se sont passés durant la période. On
peut également consulter la biographie de personnalités importantes de la
période.
On peut trouver aussi des documents audio, des films ou
encore des images.
Enfin on trouve des cours complets sur la période, des liens
vers d’autres sites ou encore des quizz pour exercer ses connaissances.
Il y a bien sur aussi de nombreuses cartes par période,
outil ou thèmes.
Donc un site qui se veut comme une histoire complète des
Etats-Unis de manière numérique.
Il essaie d’apporter dans le même espace numérique toutes
les informations (documents textuels, audio, vidéos, cartes, images,
définitions) nécessaires pour visualiser et maîtriser de manière exhaustive
l’histoire des Etats-Unis.
Selon moi, le site est assez bien complet au niveau de la
diversité des informations disponibles, il apporte aussi plusieurs entrées
différentes pour la consultation. On peut aussi bien raisonner dans une optique
purement historique grâce au classement des données par période mais on peut
également travailler sur les Etats-Unis de manière thématique et en choisissant
les types de sources.
Un site qui utilise l'Internet pour recueillir des informations, des faits ou des évènements du passé. Une nouvelle méthode de construction d'une archive numérique.
Interactivité dans le site internet afin que les visiteurs puissent apporter leur participation (leurs souvenirs et autres documents historiques).
Interactivité dans le site internet afin que les visiteurs puissent apporter leur participation (leurs souvenirs et autres documents historiques).
Il encourage les
gens à
participer et à faire de l'histoire dans ce nouveau
média.
Il tente d’évaluer et d’améliorer la validité et la valeur de ses sujets (en réalisant des études qualitatives).
Il tente d’évaluer et d’améliorer la validité et la valeur de ses sujets (en réalisant des études qualitatives).
Un site assez bien organisé et complet qui nécessite une
bonne compréhension préalable des outils et du mode de navigation. Une fois ce
travail réalisé, il est plutôt facile de mener sa recherche et son analyse de
la manière qui nous convient le mieux.
Proposition de sites de tentatives comparables dans
l’espace francophone :
Histoire générale :
Histoire des États-Unis :
http://etats-unis.americas-fr.com/histoire.html
Site choisi : Librarything, http://www.librarything.fr
Cependant cet outil, très adapté aux livres, ne l'est pas aux articles et aux autres sites internet. Donc pas adapté à la gestion d'autres types de références que les livres.
Il est aussi moins pratique que Zotero dans la mesure où il est nécessaire de passer par le site pour ajouter la référence d'un livre. Alors que lorsque l’on télécharge le logiciel Zotero, on peut ajouter directement la référence de l’endroit où on l’a trouvée grâce à un icône spécial.
Site choisi : http://tagcrowd.com
Cet outil est donc très utile lorsque l’on a un texte, un site web ou un
document texte pour savoir de quels thèmes principaux ils traitent en visualisant
la fréquence de tous ses mots et ainsi savoir ceux qui reviennent le plus souvent. On peut
donc savoir assez rapidement si un texte va pouvoir nous intéresser ou non.
Rapport méthodologique d’un outil de gestion bibliographique
Lorsque l’on arrive sur le site on peut voir une
présentation générale, on peut faire une visite rapide pour comprendre le
principe du site, on peut soit se connecter soit s’inscrire, on peut aussi
visualiser les activités importantes et récentes.
Comment peut-on présenter
Librarything ?
On peut dire que c’est une sorte de réseau social et un outil pour cataloguer
des livres. On peut y créer son propre catalogue avec les livres pouvant
nous intéresser, qu’on a consulté ou que l’on a lu. On peut mettre en commun son
catalogue en ligne pour communiquer avec d’autres utilisateurs par différents
moyens.
Comment fonctionne-t-il et
comment l’utiliser ?
- On peut rechercher le livre par titre, par auteur ou par
un identifiant précis. Si le livre est disponible, on peut le choisir dans
l’édition voulu. Par ailleurs, si le livre n’est pas disponible, il est
possible de le rentrer manuellement.
On choisi où rechercher les livres (sites comme Amazon ou
encore des sites de n’importe quelle bibliothèque).
-On gère ensuite sa bibliothèque, on peut visualiser son
catalogue sous la forme d’une liste de livres avec leurs couvertures. Après on
peut réaliser différentes recherches dans cette liste, trier et classer les livres grâce à des
étiquettes par mots-clés, éditer manuellement les informations sur les livres, imprimer
sa bibliothèque ou encore écrire ses propres critiques.
- Si l’on ne sait pas précisément quel livre on veut, on
peut faire une recherche par mots-clés et consulter les suggestions fournies
par le site qui peut s’appuyer sur des informations fournies par d’autres utilisateurs.
Possibilité de savoir quels utilisateurs possèdent ce livre dans leur
bibliothèque, ce qu’ils en pensent et consulter les critiques qu’ils on pu
éventuellement émettre.
- On peut bien sûr gérer son profil utilisateur avec des
informations sur soi, sur sa bibliothèque que l’on peut totalement partagée ou
partagée partiellement en gardant certaines informations privées.
On peut partager les informations que l’on désire avec les
autres utilisateurs. On peut aussi consulter et voir les principales tendances.
- Le site est fortement interactif et met en place des
forums de discussion. On peut participer à des groupes qui nous intéressent ou
créer son propre groupe de discussion. On peut voir les
conversations dans tous les groupes ou seulement dans nos propres groupes. On
peut lire que ce que les autres utilisateurs disent ou bien sûr poster soi-même des messages.
- D’autres optionalités sont disponibles
comme localiser certaines bibliothèques et évènements pouvant nous intéresser.
- On
peut aussi partager ses informations du site sur un blog ou encore sur Twitter.
On peut dire quand même que c'est un bon site pour gérer la
liste des livres de sa bibliographie, la modifier ainsi que ses références. On
peut voir les listes des autres utilisateurs ainsi que leurs critiques pour avoir d’autres
points de vue sur les livres. Importante interactivité de part la possibilité
de rejoindre des groupes de discussion.
Cependant cet outil, très adapté aux livres, ne l'est pas aux articles et aux autres sites internet. Donc pas adapté à la gestion d'autres types de références que les livres.
Il est aussi moins pratique que Zotero dans la mesure où il est nécessaire de passer par le site pour ajouter la référence d'un livre. Alors que lorsque l’on télécharge le logiciel Zotero, on peut ajouter directement la référence de l’endroit où on l’a trouvée grâce à un icône spécial.
Rapport méthodologique d’un outil pour trier l’information
Après l’exploration des différents outils méthodologiques
pour trier l’information, celui qui a retenu mon attention est TagCrowd.
Ce site a été créé en
Juillet 2006 par Daniel Steinbock,
alors qu'il était étudiant en doctorat à
l'Université de Stanford.
On se rend compte assez rapidement que c’est une application web permettant de visualiser
la fréquence des mots dans un texte
en créant ce qui est plus couramment connu comme un « nuage de
mots » ou « tag cloud ».
Ce
nuage de mots permet de visualiser assez rapidement ceux qui sont les
plus importants en un seul coup d’œil. C'est-à-dire que plus un mot
est cité et plus sa taille d’affichage sera importante.
Description du
site et les différents types de texte à visualiser
Dans un premier temps, l’aspect général du site est assez
simpliste :
Comme on peut le voir (en plus de réaliser les nuages de
mots) on peut accéder au blog du site, consulter l’aide…
Ensuite pour ce qui est du cœur de l’outil, c'est-à-dire le
fait de générer des nuages de mots à partir d’un texte, il peut être utilisé de
trois manières différentes :
-
On peut rentrer l’URL d’une page Web pour visualiser la
fréquence de tous ses mots. Un procédé qui peut être moins précis que
directement un texte. En effet, il présente vraiment tous les mots de la
page (même des mots qui n'aurait aucun rapport avec le texte qui nous
intéresse).
(Exemple si l’on utilise l’URL du blog du séminaire) :
- On peut directement taper ou coller un texte dans le cadre
prévu à cet effet pour obtenir son nuage de mots.
(Exemple si on l’on colle l’introduction de ce rapport dans le
cadre et qu’on génère le nuage de mots) :
- La troisième possibilité est de télécharger un fichier
texte pour visualiser les mots.
Une fois le type de texte rentré, il faut appuyer sur le
bouton « visualize » pour voir le nuage et la fréquence des mots.
Différentes options pour
visualiser les mots
Pour la visualisation, on a la possibilité de régler des options
selon ce qui nous convient le mieux. Les différentes options sont :
- la langue. On peut visualiser les mots dans la langue que
l’on souhaite,
- le nombre de mots. On peut régler un nombre maximum de mots
à visualiser qui est compris entre 25 et 100. Il est préférable de visualiser
un petit nombre de mots pour les textes courts et un grand nombre de mots pour
les textes plus longs,
- la fréquence. On peut afficher ou pas un mot selon le
nombre de fois qu’il apparaît dans le texte. Par exemple si l’on rentre le
nombre 3, seul les mots apparaissant au moins 3 fois seront affichés. Il est
possible également d’afficher le chiffre exacte de la fréquence de chaque mot,
- le groupement de mots. On a la possibilité si on le veut
de grouper les mots ayant des liens les uns envers les autres,
-
la suppression de mots. On peut en effet choisir des mots
que l’on veut exclure manuellement de la visualisation (assez utile pour
les mots inutiles tels que "le", "la", "un", "de" et les autres
prépositions ou conjonctions).
Par ailleurs, on peut enregistrer les nuages de mots générés pour notre recherche,
notamment sous format HTLM et PDF.
Rapport méthodologique d’un outil de Mind-mapping
Les sites proposés lors de cette séance permettent tous de
réaliser une même fonction principale mais avec des outils et des
caractéristiques différentes. Ce sont en effet des outils de
Mind/Concept-mapping.
C'est-à-dire qu’ils permettent de visualiser des informations, des données sous forme de cartes ou schémas heuristiques, d’arbres à idées…
C'est-à-dire qu’ils permettent de visualiser des informations, des données sous forme de cartes ou schémas heuristiques, d’arbres à idées…
L’intérêt du Mind-mapping est donc de représenter un ensemble de
relations entre des données selon une architecture précise (arborescence …) dans
le but bien sur de mettre en valeur des informations en les structurant.
Le site que j’ai choisi de développer après différents tests
est bubbl.us. Un site en ligne qui permet donc d’utiliser différents outils
pour réaliser un Mind-mapping.
Comment se présente le site ?
Tout d’abord c’est un site qui est en anglais et il faut
s’inscrire pour pouvoir avoir accès aux fonctionnalités. Une fois inscrit et
enregistré sur le site, il est possible de commencer à construire sa carte
heuristique avec les outils mis à disposition dans la version gratuite (en
effet certaines fonctionnalités sont accessibles seulement après avoir souscrit
à un forfait payant).
Quelles fonctionnalités offre le site ? Que
peut-on faire ?
Création de bulles et de relations par arborescence
Tout d’abord, comme son nom le suggère assez bien, le
principe premier est la création de bulles (même si dans les faits ce sont plus
des rectangles ou des carrés aux bords arrondis).
On part donc d’une bulle : on peut la nommer, changer
sa taille ou sa couleur, la déplacer, mais encore lui attaché en pièce jointe un fichier de son
ordinateur ou venant d’un site web (cette dernière fonction est seulement
disponible dans la version payante).
Ensuite on peut bien sur créer de nouvelles bulles. Il est
possible de créer directement une bulle « inférieure » à la bulle de
départ à l’aide de CTRL+Enter ou avec l’aide d’un bouton/icone à l’intérieur de
la bulle.
Pour ce qui est de la bulle « inférieure »
créée, il est possible de lui ajouter une autre bulle « inférieure »
grâce à la même méthode ou alors lui ajouter une bulle de même niveau (et donc
une nouvelle bulle « inférieure » à la bulle de départ.
Enfin on peut créer une bulle indépendante et la relier à
n’importe quelle autre bulle par une flèche.
Exemple avec les matières du Master 2 :
Les autres fonctionnalités complémentaires du site
- Il est possible de zoomer librement sur l’ensemble de
l’arborescence (ou de la "Map").
- Il existe un icône qui permet d’annuler la dernière action
effectuée si jamais on s’est trompé et que l’on a fait une erreur.
- Il y a la possibilité de sélectionner précisément une ou
plusieurs bulles à l’aide de la flèche. La sélection peut par la suite être copiée
et être collée à un autre endroit.
- On peut également imprimer soit l’intégralité de son travail
soit la sélection éventuellement effectuée.
- On peut importer des fichiers (version payante) mais
également exporter son travail sous la forme d’une image ou sous la forme d’une
page web.
- La sauvegarde se fait à l’aide d’un icône où l'on peut cliquer mais on peut
également mettre en place une sauvegarde automatique et régulière de son
travail.
- On peut créer plusieurs dossiers (que l’on nomme de la
manière que l’on veut) et dans lesquels il est possible de mettre plusieurs
"Maps". On peut travailler sur plusieurs travaux différents en même temps.
- Enfin, comme c’est un site en ligne, il est possible de
partager son travail avec les contacts d’autres utilisateurs que l’on possède.
Grande interactivité car une fois la carte partagée, le contact peut la
modifier autant qu’il le veut.
Ce dernier point est indéniablement le grand avantage de ce
genre de Mind-mapping en ligne, par rapport aux logiciels classiques (type
MindMeister ou PersonalBrain).
Après bien sur, ces autres logiciels sont plus développés et
offrent plus d’outils, plus de possibilités.
C’est donc un site assez utile lorsqu’on est loin de son propre
PC et de ses outils habituels.
Un site qui nous permet donc de bien synthétiser ses idées
en rapport à un thème précis en visualisant ses relations avec les autres
thèmes ou sous thèmes.
Cependant peut-on dire que c’est un outil qui rentre à
l’intérieur et qui aide le processus de recherche ou bien qu’il sert seulement
d’illustration une fois la recherche effectuée ?
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